|| P.andora T.enaka || Pandora is a good girl

~ Identité ~

Nom : Tenaka
Prénom : Pandora
Âge : 17
Sexe : Féminin
Emploi / Scolarité : va dans un centre psychiatrique
Clan & Rang : Euw
Pouvoir : oui | Peut se déplacer à travers les miroirs, ou toutes autres environnement-objet donnant un reflet .::::. Peut aussi faire apparaître du feu

PIKA PIKA ! Carapuss, carapuss ! Pika pika ! Putain les mecs c'est quoi ce dialogue de merde, j'en ai ma claque, moi ! Les gosses, arrêtez de regarder des trucs de merde et allez plutôt lire des livres, MERDE !

Histoire

Je m'habillais alors que ma mère s'excitait comme une puce dans je ne sais qu'elle pièce. Aujourd'hui, j'aurais 13 ans. Oui. Je suis née à 22h47, alors pour moi, j'ai toujours 12ans. Ma mère n'arrête pas de dire « ma petite fille viens d'avoir 13ans !! », je me retiens de lui jeter à la face qu'en fait j'en ai toujours 12. Je suis trop avec les détails, je devrais arrêter. Mais paraît-il que le diable se cache dans les détails. Bref. Après m'être habillée, je me contemplai dans le grand miroir sur mon les portes de mon armoire. Ma mère voudrait me faire des anglaises. Erk, je serais horrible à voir, brune comme je suis. Personnellement, je trouve que cela ne va qu'aux blondes. Je devrais peut-être ouvrir un peu plus mon esprit … Non, enfin, c'est juste que personnellement, je trouve que ça ne fait pas super, mais après, bon vous semble. Puis ma mère entra d'un coup dans ma chambre, oubliant les bonnes manières qu'elle m'a pourtant tant apprises, oui, je parle de toquer à la porte. Pour cette chose, je suis bien d'accord avec elle, ne pas toquer à la porte est plutôt irrespectueux et déplacé. On pourrait tomber sur des scènes compromettantes. Mais enfin bon, on ne corrigera jamais ma mère, lorsqu'elle est dans tout ses états.

« Changement de plan, ma chérie, on te lisse les cheveux ! »

Bon. Je me tais. La regarde. Prend un air délicat. Je pourrais presque voir son cœur fondre face à sa jolie fille ayant l'air si innocente et fragile. Je ne suis pas fragile. Mais laissons-là. Elle veut me lisser les cheveux. Je me regarde discrètement dans la glace. Je suis très bien, comme ça, moi, pas besoin de me lisser les cheveux … ! Mais bon, laissons-là. Elle me pris le bras et m'entraîna dans la salle de bain. Je me demande parfois si elle ne me prend pas pour un jouet qui lui appartient, plutôt qu'à une fille, un être humain. Comme si, comme je viens d'elle, dans sa logique, je suis tout à elle. Elle me lissa donc les cheveux et me maquilla légèrement. J'étais plutôt fière de la belle image que je reflétait dans le petit miroir au-dessus du lavabo. D'un autre côté, je trouvais mes lèvres trop rouges et que mes cils ressortaient bien trop. Le naturel n'est pas si mal... Ensuite, je du passer la moitié de ma journée dans ma chambre, pendant que mes parents préparait les cadeaux et le reste. On avait quelques invités, et ça, les invités, pour ma mère, il ne faut jamais les décevoir et toujours les impressionner. Et leur faire passer un bon moment. Je dévissai un pied de mon lit -le seul qui puisse se dévisser sans qu'on appelle Hulk à la rescousse- et regarda à l'intérieur. Oui, car il est creux. Dedans, rien n'avait bougé, personne n'avait donc encore trouvé cette cachette, je me sentais rassurée. Dedans, donc, on pouvait y voir une cigarette que j'ai gardé pour le jour où je serais enfin prête à essayer, un paquet de bonbons si jamais je me fait punir trop longtemps et que la faim se fait sentir, ainsi que mon journal intime. Ah, mon cher journal intime. Je l'ouvris au début et me mit à lire. Je l'ai depuis trois ans, et tellement il est épais, qu'il reste encore beaucoup de place, malgré ma manie d'écrire des tonnes de lignes en me perdant un peu dans le contexte duquel je voulais parler. Je pris du tout début.

Première page :

« Secret Diary of Pandora Tenaka »

En effet, voyez-vous, j'écris en Anglais, vu que je vis en Angleterre. Je n'avais pas réfléchi à écrire plutôt en français, où ainsi, beaucoup moins de monde aurait pu le lire, vu que l'anglais est une langue apprise partout. Mais j'avais 10ans, j'étais bête. Non, enfin, c'est pas ça, mais bon. Mais à mes 11ans, je me suis mise à écrire en français et espagnol. A présent, j'écris totalement en fançais. C'est ça, d'être métisse, on connaît plein de langue. Enfin, je n'ai pas de sang espagnol, mais bon. Oui, en effet, voyez-vous, mon père est issu d'un japonais et une coréenne, et ma mère d'une anglaise et un français. Je connais donc quatre depuis très petite... Ralala, que j'aime être métissée. L'espagnol, lui, me viens de Clément qui m'avait appris à mes 11ans, car il était revenu d'un long séjour en Espagne. Qui est Clément ? Vous le saurez bientôt vu qu'il est invité à mon anniversaire. Revenons-en à mon journal intime. La deuxième page était blanche. La troisième disait que je n'avais toujours pas écris dedans alors que ça faisait un mois que j'avais le journal, puis je me présentais et donna à mon journal le nom de Z. Je parlais de mes origines et de mon arrière grand-mère qui en ce temps était toujours vivante et qui disait qu'elle voulait être euthanasiée et que je ne savais pas ce que que c'était. C'était court, car à la fin, ce fut écrit « I'm going to eat, bye bye, Z ! ». Le chapitre d'après marquait mon retour et je parlais de ma date d'anniversaire, qui est le 1er avril, et j'expliquais à l'intérieur que mes parents fêtaient toujours mon anniversaire le 2 Avril, pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

J'entendis des pas. Je me précipitai pour glisser à toute allure le journal dans le pied et revisser, les mains tremblantes. Alors que je terminais de visser, la porte s'ouvrit et je me retournai et levai d'un coup, regardant ma mère, lui souriant de toutes mes dents.

« C'est bon, maman ? »

Elle me sourit à son tour, super excitée.

« Clément est arrivé »

Je sortis de la chambre et alla dans le couloir, me demandant si il était entré ou toujours devant la porte, attendant qu'on lui ouvre. Puis du coin de l'oeil, je vis Clément dans le grand salon, regardant une photo. J'allais vers lui et l'embrassa à la joue.

« Salut, Clément ! »

Il déchira le regard de la photo. Je me mis à regarder l'image, me demandant pourquoi cela l'attirait tant. C'était une photo du mariage de mes parents. Je vois pas pourquoi il à dû se forcer à arrêter de regarder. Peut-être que la beauté de ma mère lorsqu'elle était jeune l'a fixé sur place. Nyahahaha. Puis je décollais mon regard pour me remettre à regarder Clément. Si mes parent apprenaient que Clément s'automutilait, ils ne voudraient plus que je le fréquente. Clément est un ami depuis mes sept ans, c'est un grand blond aux yeux bleus d'une beauté presque irrésistible. Moi, j'y résiste sans même le vouloir. Je sais, je suis parfaite.

« Joyeux Anniversaire, Pandora … »
« C'est fou comme t'as pas l'air de t'ennuyer »
« Je sais … »

A cet instant, je le trouvais bizarre. Oui, car avant, même s'il se blessait volontairement, qu'il se cognais contre des arbres, qu'il portait ses chemises et ses chaussures à l'envers, je ne le trouvait pas vraiment bizarre. Pas beaucoup de monde à ces informations sur lui, vu que sinon, en publique, il paraît parfait, comme gars. Lui et moi sommes deux petits être absolument parfait. Mouais... J'entendis alors ma mère me rappeler. Et quand elle vint me voir, elle me prit les mains puis se tint les joues. Elle est sûrement tarée, à être excitée juste pour un anniversaire.

« Encore des invités ! Il y a la jolie Chris ! »

La jolie, Chris, ça oui, ma Chris est magnifique et parfaite à mes yeux -même si logiquement, elle n'ai pas parfaite, vu que c'est la reine du vol. Le vol est un péché. Enfin, je crois que dans cette salle, il y a déjà deux pécheurs au moins. La maison se rempli petit à petit, où j'allais à la rencontre de Chris. Je restais alors assez figée, face à Chris, bras tendus, jambes tendus, tout. J'étais tendue, ayant peur que ma mère ou mon père m'aperçoive. J'eus finalement un grand sourire et me détendis. Je fit un « Salut Chris ! » qui montait assez dans les aigus et elle me retourna le bonjour, me surnommant « Panda ». Les gens qui me connaisse adorent me surnommer Panda … Pffff. Moi j'aime pas ce surnom. En fait, Chris était ma petite amie secrète. Secrète, car si mes parents connaissaient notre liaison, ils utiliseraient tout les moyens pour que nous ne nous voyions jamais plus. Pour eux, il n'y à que les hétéros et c'est tout. C'est pour ça qu'en publique, nous devons toutes deux jouer aus meilleures amies du monde et pas plus.

×××

Le lendemain, nous étions samedi. Pas cours. Bien entendu, interdit de sortie. Oui, interdit. J'ai rarement le droit de venir chez mes amis ou me balader seule pour réfléchir, comme dans un parc. Non, non et non. Cela à toujours été ainsi et ça le restera jusqu'à ce que je sois majeure, je le crains. J'ai toujours cru que mes parents avaient raison de m'éduquer de cette façon. Je me disait qu'ils étaient sûrement très intelligents et qu'ils étaient de bons parents qui savait comment on élevait correctement un enfant. Mais depuis trois mois, je n'arrive plus à avoir la même vision que j'avais auparavant. J'ai beau m'y forcer, je n'y arrive pas. J'ai surtout l'impression d'être un animal de compagnie plutôt d'un être humain normal. L'impression d'être une simple poupée au main de mes deux parents. Je me sens enfermée dans ma petite cage d'oiseau, ne pouvant le ciel seulement si on m'y autorise, pouvant voir d'autre oiseaux seulement si on m'y autorise, d'avoir des sentiments seulement si on m'y autorise. Presque même avoir le droit de vivre seulement si on m'y autorise. Je voudrais pouvoir aimer Chris librement sans flipper que mes parents nous fasse couper les ponts et me disent que c'est un péché et que j'irai en enfer pour être tombée amoureuse d'une fille. Pouvoir être amie avec d'autre gens encore avec qui j'aimerais faire connaissance, sans avoir peur qu'on me sépare à eux car ils ne sont pas assez bien et qu'on m'enferme encore plus pour éviter un nouvel « incident » de ce genre. Pouvoir m'habiller comme je veux. Bref, j'en ai marre de prendre la laisse dans la gueule et agiter la queue pour avoir un peu d'espoir. Je ne sais pas vraiment comment j'ai fait pour avoir ces nouvelles pensées, alors qu'auparavant, je pensais cela très bien. C'est venu petit à petit, me rendant compte qu'on se foutait vraiment de ma gueule.

Finalement, ce que je fis fut très simple. Je m'assis près du lit et dévissa le pied fétiche. Je pris mon briquet et mon paquet de bonbon. Les bonbons, c'est juste pour le plaisir. Quoique, le briquet aussi, c'est pour le plaisir. Je revissa et alla à la fenêtre, pour l'ouvrir. Ma chambre est seulement au premier étage, ça devrait aller question santé physique. Je sautais donc par la fenêtre atterrissant à quatre pattes. Je marchais sur mes gardes dans le jardin, sortit dans la rue.

×××

C'était la première fois que j'étais sortie ainsi de chez moi. Ayant été toujours autant obéissante, cela m'avait vraiment fait bizarre d'avoir enfreint les règles. Et ce n'était pas déplaisant. J'adore désobéir, en fait, je pense. Enfin, ce n'est pas en fait comme si c'était vraiment la première fois que je désobéissait, finalement. Avoir Clément comme ami serait en fait une désobéissance, encore plus avec Chris.

J'avais longuement marché dans la rue, contemplant le feu que produisait mon briquet. Clément à souvent dit que j'étais pyromane. Je doit l'être. J'ai une fois voulut mettre le feu une poubelle, une fois alors que j'avais eu l'autorisation de me balader avec Clément. Il à dû m'éloigner de la poubelle pour essayer de m'en dissuader, même si tout le long je n'arrêtais pas de lui avoir fait remarquer que ça aurait été bien. Cette fois, je vais essayer de ne pas vouloir mettre quelque chose en feu.

Ensuite, j'avais rendu une visite improvisée à Chris, qui s'était inquiétée pour la suite, si mes parents se rendait compte de mon absence. On à eu notre temps à nous, veillant à l'heure. Mais finalement, je suis rentrée chez moi trop tard. J'avais réussi à grimper jusqu'à ma fenêtre et regagner ma chambre, mais alors que je sortais de ma pièce l'air de rien, mais parents se sont jetés sur moi pour me sermonner aussitôt en me demandant où j'avais bien pu aller.

×××

Nouvelle maison, nouveau lieu. Je regardais d'un air mauvais la porte d'entrée. On me disait d'entre, qu'on avait pas que ça à faire et mettre les cartons dans les pièces. Mais moi, je m'en foutait c-o-m-p-l-è-t-e-m-e-n-t. C'est leur problème, aux déménageurs. Moi, je voulais voir Chris. Mais je peut toujours rêver, de toute manière, n'est-ce pas ? Je ne la verrais plus jamais, je parie. Je ne verrai pas non plus Clément. Je pourrai plus voir Clément se cogner le crâne, tout en se mutilant le bras et habillé à l'envers. Je pourrai plus avoir le droit de voir les butins de Chris la reine des voleurs, je pourrai plus m'amuser, alors que maintenant, je sens que l'on va être encore plus strict. Je n'ai pas envie de nouveaux amis. C'est Chris et Clément, que je veux voir. Je veux continuer à voir Chris, au moins. Mes parents m'ont fait part qu'ils étaient navrés de me séparer ainsi de Clément malgré notre histoire d'amour. Ces cons-là ce sont fait des idées pas possibles. C'est de Chris qu'on m'a arrachée malgré notre histoire ! Mais là, hein, s'ils avaient su pour elle et moi, là, ils en aurait eu rien à taper ! Ou tout du moins, on se serait offusqué... Pfff. Finalement, une blondasse qui l'avait mauvaise me poussa vers le côté et entra enfin dans la maison, avec un gros carton ayant l'air d'être super lourd. Je me demande combien de temps elle à traîné avec ce carton, attendant que je me pousse.

J'entrais à mon tour, visitant les pièces. C'était plutôt grand tout ça. Le papier peint de la cuisine était moche comme pas possible, mais ma mère, elle, adorait, si je ne me trompe. C'était des traits verticaux blancs, verts, roses, oranges et bleus. Horrible. Le salon aurait pu être une salle de bal. Le papier peint, là, était de couleur unie et brun. Il y avait une autre grande salle, je ne sais pas ce qu'étais comme pièce mais bon. Là, c'était d'un rose saumon, très moche. Je prie pour qu'on change ça et la cuisine. Je montait à l'étage et visitai la salle de bain. La baignoire était super spacieuse, et il y avait une douche de l'autre côté. Il y avait une rangée de deux lavabo et un plan de travail, tout ça où sur le mur, au-dessus, il y avait un miroir très large. Ensuite, j'allais dans ce qui devait être une chambre. Elle aussi, était unie et brune. Spacieuse. L'autre chambre était d'un blanc pur. Ca, je sens que c'est la pièce qu'on va me filer comme chambre, y'a presque aucun doute. Elle était pas mal, question place. Ensuite, il y avait une baie vitrée donnant sur une terrasse. Eh ben, tout ça. C'est qu'on à les moyens, dites moi …
Je sortis me balader dans la rue. Étrangement, mes parents ne me dirent rien. Je traînais comme ça, mes chaussures se frottant souvent au sol. Il y avais bien des jeunes de mon âge et plus âgé. Hinhin. Je tombai sur une fille bizarre. C'était le genre de fille insouciante qui sortait seule dans le monde des tarés. Elle avait les cheveux disons blonds, en deux petites couettes avait une longue jupe et une vieille veste noire, ouverte donnant sur un t-shirt rouge. On aurait dit qu'elle avait pris les premiers trucs qui lui venait à la main. Remarquant que je la toisait, elle se mit à regard ses pieds. Nus, comme les miens. Je souris face à cette remarque intérieure. Totalement débile, cette réaction, mais bon.

« Tu es celle qui viens d'emménager, c'est ça ? »

Je me remis à regarder sa face au maquillage bizarre. Je sais pas comment expliquer... C'est comme si elle en avait mis une tonne pour pas qu'on la reconnaisse. C'était la première fois que quelqu'un se mettait à me parler alors que je me baladais dans la rue. Enfin bon, elle à pas l'air normale, cette fille, alors.

« Peut-être bien... 'Fin, je suis juste un des bagages des gens qui emménage, en fait »

Elle fronça des sourcils. Puis d'un seul coup, elle tendit la main, ce qui me fit sursauter. Elle eut un grand sourire … bizarre lui aussi.

« Moi, c'est Victoria et toi, le bagage ? »

Je regardais sa main en haussant le sourcil gauche. Finalement, je la lui pris. Je me rendis compte juste ensuite qu'elle avait tendu la main gauche.

« Normalement, c'est la droite. Les bagages n'ont pas de noms. Enfin, normalement. Beaucoup de gens m'appellent Pandora, mais je me demande si c'est ma marque ou mon prénom »

Elle eut encore une fois un grand sourire. Sincère. Et moins bizarre.

A finir

Caractère

Ecrire LE CRACTÈRE ICI (min 20 lignes [ça va vite, la case est petite, le physique aussi])

Physique

ECRIRE ICI LE PHYSIQUE (min 20 lignes [ne pas pleurnicher, en fait c'est facile 8D])

Messages : 5 Date d'inscription : 17/09/2011 Localisation : Avec ses roses

J'aime trop le début de ton histoire *.*
C'est génial

Ah bon ? :OO Ben merci (x